INDIGNEZ-VOUS !

Publié le par vingtpasses

RIMG0004_2.JPG

 

Dans l’article « Ballet sur le sable » de ce matin 10 juin 2011, nous écrivions à propos de la corrida nîmoise de la veille : (…) « un spectacle de moins en moins sérieux qu’aucun président de course fût-il à la hauteur comme Laurent Burgoa, ne peut légitimer ».

 

Oreilles

Dans sa reseña, Paul Bosc a très justement souligné la compétence de Laurent BURGOA, qui a résisté par deux fois aux pétitions aussi bruyantes qu’injustifiées d’une partie du public pour la  2ème oreille.

 

Haro sur le palco !

Mais Nîmes n’est pas Bilbao… Dès ce matin, on apprenait que Laurent BURGOA prévu initialement pour présider la course de samedi après midi, ne monterait pas au palco. Traduisez : débarqué pour insuffisance de trophées !

 

Aficionados,    indignez-vous !

Publié dans Corrida et Société

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
D
<br /> J'apporte mon soutien total au président débarqué du palco. Il en faut plus des gens comme ça, la corrida en a besoin. Arretons les pluies de trophées qui ne veulent plus rien dire sinon qu'à faire<br /> plaisir à quelques uns. Une arène qui se veut de catégorie doit être plus rigoureuse, regardons Bilbao ou Madrid. Au fait à Madrid est ce l'empresa qui choisit le palco et qui le destitue si celui<br /> ci n'est pas trop généreux? Là bas ce serait plutôt le contraire donc.....<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> Cette décision est indigne<br /> Laurent BURGOA a bien présidé et ce n’était pas facile.<br /> <br /> <br />
Répondre
V
<br /> <br /> Il semble qu'il y ait un consensus sur cette question.<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Proprement scandaleux !!!<br /> Monsieur Fournier à la mémoire courte. Lorsque nous étions jeunes aficionados alors que la dysenterie auriculaire ravageait la plaza de Nimes, un Président n'avait pas donné, contre vents et<br /> marées, une oreille à Espartaco.<br /> Ce jour là, ce président, alors inconnu au plan local, avait gagné ses lettres de noblesse parmi l'aficion locale. Le maire de l'époque, que je sache ne lui avait pas tiré l'oreille ni même<br /> congédié pour bons et loyaux services envers l'aficion. Ce président, joua plus tard sur ce fait pour rallier l'aficion à sa cause. Il est aujourd'hui maire et depuis les choses ont changé. Comment<br /> "virer" son "fils spirituel" alors qu'il préside et qu'il (re)donne de la catégorie à ses arènes ? Ceci s'appelle du despotisme. A tous les courtisans qui un jour, au temps de sa gloire (locale)<br /> ont caressé dans le sens du poil Monsieur Laurent Burgoa, pour avoir un calléjon ou une délégation, je demande une mobilisation contre le choix du roi, et que le Président Burgoa regagne sa place<br /> qu'il mérite et qu'il assume parfaitement dans ce marigot nîmois.<br /> Je témoigne en toute aficion, car je n'ai jamais demandé quoi que ce soit à personne et j'ai souvent combattu Burgoa à sa (relative) grande époque. L'injustice et quelque chose que je ne supporte<br /> pas et le despotisme d'un maire non plus.<br /> Un aficionado libre.<br /> <br /> <br />
Répondre