Il n’y avait pas de quoi écrire à sa mère...
A propos de la Feria de Pentecôte ou celle des Vendanges, lire Hubert Compan est toujours un vrai plaisir. Pour les toros de cette dernière Feria, sa déception est perceptible : « il n’y avait pas de quoi écrire à sa mère ». Il va plus loin en donnant...